Toutes les ascensions à vélo des Alpes !

Auteur/autrice : alpes4ever Page 10 of 52

Ma RGA – récit de l’étape 3 : Bourg-Saint-Maurice > Aussois

Col de l’Iseran – toit de la Route des Grandes Alpes à 2764 m.

Le départ

Lundi 1er août 2022, lever à 7h. Je fais un check-up du bonhomme… pfiou, j’ai les lombaires encore bien douloureuses (voir étape 2), il n’y a pas eu de miracle cette nuit ! Mais j’ai tout de même bien dormi et côté jambes, juste de très légères courbatures, c’est toujours ça de pris sur l’état général. Le départ est prévu pour 8h30.

Cela me laisse le temps d’envoyer mon programme de la journée à mon fil Whatsapp, de me faire une petite toilette, d’appliquer soigneusement la crème Dexpanthénol sur les parties « sensibles » (voir page intro), d’enfiler ma tenue du jour, de préparer mes bidons avec la poudre « Isotonic » et mes petites rations du jour (barres céréales et pâtes de fruits) et enfin de faire mon bagage. Un petit cérémonial que je suivrais les étapes suivantes. Je descends ensuite au rez-de-chaussée pour prendre un copieux petit-déjeuner.

Tout en avalant une délicieuse tartine beurre/miel, je pense au programme de l’étape du jour qui est moins intense que la veille avec seulement 2 ascensions… mais la première est un sacré morceau et pas le moindre : c’est le Col de l’Iseran, toit de cette Route des Grandes Alpes avec ses 2764 m d’altitude ! Ne pas se fier à ses 5% de moyenne qui laisse penser que ça va être facile, c’est un monstre Mesdames et Messieurs : depuis Bourg-Saint-Maurice, c’est une longue, très longue ascension de 46,7 km et avec plus de 2000 m de dénivelé positif !

Pour cette étape qui passera de la Tarentaise à la Maurienne – toujours en Savoie -, j’ai choisi de suivre le parcours V2 qui suit en grande partie le tracé de la Route des Grandes Alpes avec donc le Col de l’Iseran mais au lieu de conclure à Modane, le final se fera par une ultime ascension à Aussois.

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Ma RGA – récit de l’étape 2 : La Clusaz > Bourg-Saint-Maurice

Cormet de Roselend, point culminant de cette seconde étape.

Le départ

Dimanche 31 juillet 2022, lever à 7h. Je fais un check-up du bonhomme… tout va bien ! j’ai agréablement bien dormi, juste de très légères courbatures. Le départ est prévu pour 8h30.

Cela me laisse le temps d’envoyer mon programme de la journée à mon fil Whatsapp, de me faire une petite toilette, d’appliquer soigneusement la crème Dexpanthénol sur les parties « sensibles » (voir page intro), d’enfiler ma tenue du jour, de préparer mes bidons avec la poudre « Isotonic » et mes petites rations du jour (barres céréales et pâtes de fruits) et enfin de faire mon bagage. Un petit cérémonial que je suivrais les étapes suivantes. Je descends ensuite au rez-de-chaussée pour prendre le déjeuner.

Je retrouve l’ensemble des participants. On se dit tous bonjour mais chacun est un peu dans sa bulle. Normal, certains finissent de se réveiller tout en profitant d’un petit-déjeuner très copieux, un point essentiel pour bien débuter cette nouvelle journée. Chacun pense aussi au programme de l’étape du jour qui est assez intense avec pas moins de 3 ascensions et plus de 2500 m de dénivelé positif !

Pour cette étape, j’ai choisi de suivre le parcours V2 qui suit normalement le tracé de la Route des Grandes Alpes avec un enchaînement Cols des Aravis, des Saisies puis du Cormet de Roselend via le Col de Méraillet. Le parcours V3 passera par les Cols des Aravis, des Saisies puis le Cormet de Roselend via le Col du Pré. En option facultative, il est proposé le Col du Joly. Les costauds feront la V3 + le Col du Joly ! Pour l’explication des V2 et V3, se référer à la page intro.

Pour le parcours V2, il est prévu 90,4 km / D+ 2612 m (données Vélorizons).
Au final, je ferais 96,5 km / D+ 2547 m.

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Ma RGA !

À Menton en 8 étapes, 700 km, 15 000 m de dénivelé…

La Route des Grandes Alpes est un itinéraire touristique qui traverse les Alpes françaises de Thonon-les-Bains (au bord du Lac Léman) à Menton (au bord de la Mer Méditerranée).

À l’occasion de mes 50 ans, avec le concours de Lionel Terrail et Jean-Loup Tétard, associés et fondateurs de Grandes Itinérances SAS qui ont réalisé le site routesdesgrandesalpes.com et auquel j’ai mis mes contenus et ma connaissance encyclopédique de l’itinéraire à leur service, j’ai décidé de me faire un beau cadeau : la mythique traversée de la Route des Grandes Alpes.

Du samedi 30 juillet au samedi 6 août 2022, j’ai réalisé cette traversée longue de 700 km, à vélo, en 8 étapes, avec l’agence de voyage Vélorizons.

Tour à tour, les massifs des Alpes ont défilé : Aravis, Beaufortain, Vanoise, Écrins, Queyras, Mercantour, en passant par des cols mythiques : l’Iseran, le Galibier, l’Izoard, le Turini et bien d’autres…

En passant par 31 cols dont 8 à plus de 2 000 mètres d’altitude, autant vous dire que ça a souvent monté : le dénivelé positif avoisinera les 15 000 mètres !

15 300 m de dénivelé positif !

Après 28 ans à grimper de long en large une majeure partie des cols alpins, c’était l’occasion d’enchaîner toutes ces merveilleuses montées en un voyage unique. Un défi aussi : tester l’homme et le cycliste, avec l’accumulation d’un bel effort journalier réparti sur 8 jours.

Un grand merci à mes parrains, Lionel et Jean-Loup (Grandes Itinérances), de m’avoir donné l’occasion de vivre ce fabuleux périple ! Un grand merci spécial à mon épouse Corinne qui m’a accompagné dans mon projet et qui aura participé à une logistique un peu compliquée en m’emmenant au point de départ à Thonon-les-Bains et en me rejoignant 8 jours plus tard à Cagnes-sur-Mer, non loin de Menton. Je remercie aussi ma famille et les amis qui m’ont encouragé tous les jours via le fil WhatsApp que j’avais créé pour l’occasion.


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Vous pouvez aussi passer directement au récit de la première étape !!!

Arrivée au Col de la Colombière…

Col de la Placette

Le Col de la Placette – 587 m – situé sur les premiers contreforts du Massif de la Chartreuse est un col de passage qui permet généralement de faire la liaison entre Voreppe et Saint-Laurent-du-Pont.

Col du Clergeon

Situé sur les hauteurs du Mont Clergeon au Nord du Lac du Bourget, le Col du Clergeon – 979 m – a la particularité d’appartenir à un massif non alpin, en l’occurence celui du Jura mais aussi au département de la Savoie qui est affiliée naturellement aux Alpes. C’est un col confidentiel avec une voie de mauvaise qualité et surtout, il a la réputation d’être assez difficile…

Col du Sapenay

Situé sur la Montagne de Cessens au Nord du Lac du Bourget, le Col du Sapenay a la particularité d’appartenir à un massif non alpin, en l’occurence celui du Jura mais aussi au département de la Savoie qui est affiliée naturellement aux Alpes. Ne pas se fier aussi à son altitude modeste – 897 m – car son ascension par ses 3 versants réserve son joli petit lot de difficultés…

Col de la Forclaz

Le Col de la Forclaz – 1528 m – est situé dans le Valais en Suisse. Il permet de faire la jonction entre la Suisse et la France. Il ne faut pas le confondre avec le Col de la Forclaz de Montmin (alt. 1150 m) situé en Haute-Savoie (France) ou bien avec le Col de la Forclaz de Queige (alt. 871 m) qui se trouve en Savoie (France).

Pas du Mortier – comment franchir l’éboulement ?

Éboulement Hiver 2020-2021 (photo Alpes4ever).

Suite à l’ascension du Pas du Mortier (tunnel) – 1391 m que j’ai effectuée fin juin 2022 depuis St-Quentin-sur-Isère, voici un récapitulatif détaillé de l’éboulement qui a eu lieu lors de l’hiver 2020-2021 et de sa traversée.

Avant toute chose, j’ai effectué la traversée de l’éboulement à mes risques et périls en engageant ma responsabilité personnelle.
Si vous tentez vous-même l’aventure, seule votre entière responsabilité personnelle est engagée !

Commençons par un petit historique

La D218 qui relie Saint-Quentin-sur-Isère – passant par Montaud et le Tunnel du Mortier – à Autrans a été construite durant l’été 1967 à l’occasion des Jeux olympiques d’hiver de 1968 qui ont eu lieu à Grenoble.

Paradoxalement, elle a été ouverte le 23 avril 1968 juste après la fin des Jeux ! Cette route permettait de desservir – sans passer par Grenoble – à Autrans sur le massif du Vercors, le stade olympique de ski nordique et le tremplin de saut à ski.

Selon certaines sources, elle aurait été construite trop rapidement et les études géologiques ayant abouties à des conclusions un peu trop hâtives.

Les locaux connaissant l’instabilité des barres rocheuses de la Grande Brèche et de la Sure aurait préconisé un percement du tunnel en amont (au niveau du Rocher de Combe Noire, avant la Grand Brèche) de celui existant…

Et les ennuis ont commencé assez tôt : le 30 janvier 1971, un énorme éboulis à Combe Noire (50 000 m3 de roches) conduit à une longue fermeture de l’axe qui est réouvert le 5 octobre 1972 après une purge du rocher et un reprofilage de la chaussée.

Après une période calme de 20 ans, c’est un second éboulement qui a lieu le 20 avril 1992 au lieu-dit de la Palette (voir cartes ci-dessous). La route est désormais coupée. Et paradoxalement, juste après les Jeux olympiques d’Albertville !

Les randonneurs et cyclistes devaient alors contourner le passage éboulé, long d’une centaine de mètre par un vague sentier assez raide, obligeant déjà à prendre quelques risques…

La route restera ainsi coupée jusqu’au printemps 2017. De bonnes volontés ont réalisé un chemin artisanal permettant aux randonneurs et cyclistes (pas les véhicules motorisés) de franchir enfin ce passage en bonne quiétude. À noter que ce dernier est toujours viable.

Mais la montagne n’a pas dit son dernier mot ! Voilà qu’au cours de l’hiver 2020-2021 (je n’ai pas réussi à trouver la date précise), un troisième éboulement a eu lieu en amont (à environ 350 m) du second éboulement.

Et là, pour l’avoir vérifié de visu, c’est la catastrophe ! Sur près de 100 m de long, c’est un amas de rochers et de pins déchiquetés qui a emporté la route !

Carte IGN avec mise en situation des 2 derniers éboulements.
Carte satellite avec mise en situation des 2 derniers éboulements.

Comment traverser l’éboulement ?

Avant de grimper le Pas du Mortier depuis Saint-Quentin-sur-Isère, je connaissais la situation grâce aux témoignages laissés sur ce site mais pas vraiment l’ampleur… Le passage était possible et j’avais décidé de tenter l’aventure. Mon approche a été bien conditionnée par l’état très moyen de la route à partir du hameau du Coing.

Le passage de l’éboulement se trouve peu après la zone des parapentistes.

Zone des parapentistes (photo Alpes4ever).
Deux panneaux « Circulation interdite à tout véhicule dans les deux sens », le message est bien clair ! Juste au-dessus, on distingue le pan de montagne qui s’est effondré… (photo Alpes4ever).

Puis on arrive au passage de l’éboulement…

Amas de rochers et de pins déchiquetés (photo Alpes4ever) !

La photo est trompeuse, on croit que ce sont des pierres et quelques branches… absolument pas, ce sont de gros rochers allant de 50 cm à près de 2 mètres et des troncs d’arbres ou des grosses branches !

J’avais prévu des protège-cales pour mes chaussures vélo… elles allaient s’avérer inutiles ! Premier conseil : prévoir une paire de chaussures légères de rando ou une paire de basket. Vous allez en avoir besoin car le passage est très pentu et l’adhésion aux rochers et parties sableuses est assez difficile.

Au premier coup d’œil, il n’est pas évident du tout de deviner un chemin… d’autant qu’à l’opposé de l’éboulement, il y a un amas de d’arbres qui barre le passage.

Second conseil : il faudra être prêt physiquement ! Traverser sur une pente raide en portant son vélo et quelques éventuelles sacoches est un véritable parcours de combattant ! Je crois que j’ai mis 20 grosses minutes…

Troisième conseil : et si il y avait un nouvel éboulement ?!!! Perso, y penser seulement 2 secondes !

Je traverse par le haut : première erreur ! On se retrouve au-dessus de l’amas d’arbres, sortie impossible.

Je redescends par le centre : seconde erreur mais que je réussis à relever. Dans l’amas d’arbres, un passage a été « aménagé » par des randonneurs qui ont placé des branches pour « faciliter » le passage. Ça passe pour des randonneurs mais un cycliste avec un vélo, c’est très compliqué. Je réussis à traverser au prix de gros efforts ! Me voilà enfin de l’autre côté…

Pas facile du tout de trimbaler le vélo dans l’amas d’arbres (photo Alpes4ever) !

Mais mais mais… je m’aperçois que j’ai perdu l’une de mes protège-cale !!! Au prix que je les ai payées (et j’en aurais besoin pour ma prochaine RGA), je décide de revenir sur mes pas (sans le vélo bien sûr). Je retrouve l’objet au premier quart de ma traversée… punaise !

En commençant ma seconde traversée, je vois soudainement un cairn sur ma gauche ! Puis un autre… des randonneurs avertis ont balisé un accès. Je le suis, ce n’est pas évident non plus et deux ou trois cairns se sont effondrés donnant quelques hésitions sur la direction à suivre.

Je finis par arriver sur la gauche sous l’amas d’arbres. Il y a une piste en terre très raide. Si j’avais eu le vélo, cela aurait été aussi difficile mais en étant équipé de baskets ou chaussures de rando, c’était faisable mais aussi au prix d’un gros effort.

La sortie de la piste en terre (photo Alpes4ever).

Info fin juin 2023 : un « escalier » en bois a été réalisé par de bonnes âmes (merci à elles) pour franchir le talus en terre – qui se trouve à droite si vous venez du tunnel et qui se trouve à gauche si vous venez de Montaud. Aucun doute que ce sera d’une grande aide ! Et merci à Roman pour l’info et la photo !

Escalier en bois pour gravir le talus de pierre (photo Roman Bernard).

La photo ci-dessous (vous pouvez l’afficher en grand) montre les différentes voies.

En pratique, suivre la voie des cairns sur la gauche… (photo Alpes4ever).
Vue supérieure de l’éboulement… impressionnant (photo Alpes4ever) !
Vue inférieure de l’éboulement… (photo Alpes4ever).
Enfin de l’autre côté de l’éboulement !

Voilà pour le franchissement… j’ai bien transpiré quand même mais je pense que si j’avais été équipé au moins d’une paire de baskets, le passage aurait bien mieux négocié.

Pour conclure, vu l’ampleur de l’éboulement, on peut vraiment douter que des travaux soient engagés pour réaliser un chemin comme pour l’éboulement de 1992. Pensez que pour ce dernier, il a fallu attendre 2017, soit 25 ans, pour qu’un accès viable soit construit !

Personnellement, j’aime parfois découvrir les routes « oubliées », et j’ai profité de cette occasion pour pouvoir faire celle du Pas du Mortier avant que cette dernière disparaisse pour toujours… D’ailleurs, j’ai même doublé la mise en faisant celle de la Charmette 2 jours plus tard (j’y reviendrais plus tard…) !

Une fois que vous reprendrez la route (attention c’est plein de cailloux, j’y reviendrais en détails plus tard), vous arriverez rapidement au fameux chemin qui franchit l’éboulement de 1992. À faire à pied, ça passe pas en vélo de route. Puis vous arriverez enfin à l’entrée du Tunnel du Mortier…

Vue sur l’éboulement de 1992 comblé par un chemin (photo Alpes4ever).
Le Tunnel du Mortier (photo Alpes4ever).

Pour tout savoir sur l’ascension du Pas du Mortier, c’est ici !

À noter, 2 sources intéressantes sur le sujet :

Article de Lucien Chevalier

Article de Fandom

Alpes Chambéry / Relais du Mont du Chat et Col du Chat

Depuis plusieurs années, c’est la tradition, c’est l’année « Alpes » pour cette année 2021 impaire et le destination choisie n’est pas très loin de Dijon : ce sera Chambéry en Savoie ! À Challes-les-Eaux (camping Le Savoy) plus exactement.

Pour ces vacances estivales d’une durée de 15 jours à cheval entre juillet et août, je réaliserais 10 sorties. En jonglant avec une météo capricieuse et en privilégiant aussi le temps à passer avec mon épouse, j’ai pu grimper une bonne quantité d’ascensions réparties entre le Massif des Bauges, le Massif de la Chartreuse, le Massif du Jura et même le Massif du Beaufortain !

La récolte fut très bonne : 21 cols différents dont un « 2000 », 565 km et 12 720 m de D+ !


Vendredi 6 août 2021 / 83,2 km / D+ 1708 m / 5h08 / Éclaircies avec beaucoup de nuages

With gest star Alexandre Autin !

Après ma tentative ratée de la veille (voir ici), je vais remettre le couvert pour grimper l’une des plus dures ascensions de France : le Relais du Mont du Chat. Le beau temps sera normalement de retour et cette bonne nouvelle en accompagnant une autre, je serai accompagnée par Alexandre Autin (dit Alex), un cycliste chevronné rencontré depuis un bon petit moment sur la sphère des blogueurs cyclistes. Ce sera l’occasion de faire plus ample connaissance.

Il va falloir se lever tôt, Alex va arriver via le train en provenance d’Ambérieu-en-Bugey à la Gare de Chambéry – Challes-les-Eaux pour 7h30 ! Il faut comprendre qu’il a été encore plus courageux pour faire le déplacement à cette heure très matinale.

Je décolle à 7h17 du camping du Savoy à Challes-les-Eaux, je suis un peu trop à la bourre ! Je trace jusqu’à Chambéry en empruntant les différentes pistes cyclables que je connais désormais assez bien. J’arrive avec 8 minutes de retard (toutes mes excuses Alex). Alex m’attend tranquillement sur le parvis de l’entrée de la gare. Première rencontre en live, c’est toujours un plaisir de rencontrer une personne avec laquelle on a correspondu par messages sur les blogs ou Strava.

On met rapidement en place les grandes lignes de notre programme : nous roulerons de concert jusqu’au Bourget-du-Lac, pied de l’ascension du Relais du Mont du Chat. Nous grimperons cette dernière chacun à notre rythme. Regroupement au sommet et descente commune du versant opposé jusqu’à Chevelu. Puis Alex rentrera à Ambérieu-en-Bugey via le Bugey tandis que je poursuivrai mon parcours via le Col du Chat pour revenir.

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Col Sainte-Lucie

Le Col Sainte-Lucie – 250 m – est situé sur les hauteurs de Menton. Ne pas se fier à son altitude fort modeste car les 8 variantes présentées ci-dessous partent du niveau de la mer et proposent des passages très irréguliers, assez soutenus et vous faisant même grimper plus de dénivelé que l’altitude du col !

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