La Station des Sept Laux est un groupe de trois stations situé dans le Massif de Belledonne. Les Sept Laux comportent deux stations côté Vallée de l’Isère – Prapoutel et Pipay – et une – Le Pleynet – côté Vallée du Haut Bréda.
PRAPOUTEL
C’est la principale station mais la moins haute avec 1365 m d’altitude. Au départ du Col des Ayes – 744 m, comptez sur une courte – 6 km – mais rude ascension avec 421 m de D+ à 7% de moyenne. Au pied de la station, vous avez le choix entre une attaque frontale – 550 m à 9% – ou un contournement plus doux en passant par la gauche de la station.
PIPAY
Le début de l’ascension est commune avec celle de Prapoutel mais elle plus longue – 9,2 km – avec un D+ de 621 m à 6,5%. Ce dernier chiffre suggère aussi une rude ascension pour atteindre la Station de Pipay, la plus haute des Sept Laux, située à 1465 m d’altitude.
LE PLEYNET
Changement de décor pour cette longue ascension – 22,2 km – puisqu’il faudra emprunter une autre vallée, en partant d’Allevard, celle du Haut Bréda qui présente un environnement naturel plus accueillant. À part un début un peu abrupte – 1 km à 6,5% – la difficulté ne sera pas élevée durant 16,3 km (entre 1 et 5,5%) jusqu’au hameau répondant au doux nom de Fond de France (alt. 1089 m). Puis une série de lacet sur une pente assez soutenue – entre 6,5 et 7% – et un final plus doux – le dernier kilomètre déclinera de 4 à 1% – va vous mener à la Station du Pleynet à 1450 m d’altitude.

Massif de Belledonne
Distance : 6 km
Départ : Col des Ayes
D+ : 421 m
% moyen : 7%
% maxi : 9% sur 550 m
Distance : 7 km
Départ : Col des Ayes
D+ : 421 m
% moyen : 6%
% maxi : 7,5% sur 2,3 km
Distance : 9,2 km
Départ : Col des Ayes
D+ : 621 m
% moyen : 6,5%
% maxi : 7,5% sur 2,3 km et 2,5 km
Distance : 22,2 km
Départ : Allevard
D+ : 987 m
% moyen : 4,5%
% maxi : 7% sur 2 km
Roman Bernard
Concernant le Pleynet, il est typique de la fausse ascension facile, un peu comme la Bérarde.
Je l’ai fait dans la foulée du Super Collet d’Allevard et les 6 derniers kilomètres sont interminables quand on a déjà les cannes usées.
À noter qu’une route forestière continue après la station, mais je n’avais plus le jus pour aller voir où elle mène.